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Le roman TysT en version numérique
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TysT est un court roman de fantasy de luvan, écrit durant le premier confinement. J'ai eu la chance de faire partie des premiers lecteurs durant l'été 2020.
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Dans sa postface, Laurence Jonard a écrit à propos de TysT : "Voici un roman inhabituel de la part de cette autrice : on y retrouve son amour pour le conte et ses formes incantatoires, le motif de la nature mystérieuse, et ses personnages qui partent en quête ou rencontrent l’ailleurs, mais cette fois-ci nous ne nous contenterons pas de nous en approcher et bien vite nous parcourrons à grandes enjambées les terres de la fantasy."
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Pour résumer : coup de cœur, signature des contrats dans la foulée et lancement de la campagne de financement participatif reportée deux fois à cause de la pandémie.
Mais on y est ! Le crowdfunding s'étendra sur 2 mois, du 1er mars au 30 avril 2022.
Comme d'habitude : transparence totale. Vous trouverez le budget détaillé ci-dessous. Le premier objectif de 100 % permet donc de financer intégralement ce projet. C'est le plus sûr pour Scylla : la campagne doit permettre d'arriver directement au point mort de rentabilité.
Si cet objectif est atteint, le livre paraîtra en fin 2022 (sous réserve de nouveaux effets imprévus du Covid et/ou de la crise du papier).
Budget détaillé :
Postes | Coût |
---|---|
luvan (droits d'autrice) Melville (partie jeu de rôle) |
2 000 € 200 € |
Stéphane Perger (illustrations) | 1 000 € |
Arnaud S. Maniak (illustrations et cartes) | 1 000 € |
Laure Afchain (maquette) | 1 000 € |
Pascale Doré (correction) | 300 € |
Imprimerie Paillart (impression à 2 000 ex) | 7 000 € |
Participation aux frais d'emballage et de port | 1 000 € |
Fabrication du livre numérique | 200 € |
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Pas de multiples objectifs secondaires. À 100 %, le livre existera. En revanche, si les 130 % sont atteints, il y aura une prime pour les artistes et freelances qui ont participé (1 000 € en plus pour luvan, 100 € en plus pour Melville, 500 € en plus pour Stéphane Perger, 500 € en plus pour Arnaud S. Maniak, 500 € en plus pour Laure Afchain et 500 € en plus pour Pascale Doré).
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Pour améliorer la rémunération de luvan
luvan percevra une avance de 10 % sur l'intégralité du tirage de 2 000 exemplaires quel que soit le nombre de ventes au final. Et à chaque retirage, elle percevra le même pourcentage.
Du nouveau pour cette campagne : pour faire encore mieux, je vous propose - à n'importe quel moment du crowdfunding, mais aussi une fois le livre paru - de lui verser directement un petit plus. Si vous souhaitez le faire, contactez-moi pour la marche à suivre.
Vous êtes libraire et vous souhaitez soutenir ce projet ?
Vous le pouvez aussi. Vous pouvez recevoir tout de suite la maquette de TysT pour le lire en avant-première. Si vous êtes convaincu, vous pourrez réserver le nombre d'exemplaires de ce titre que vous désirez. Ils vous seront facturés avec une remise de 50 % (frais de port offerts, vente ferme) et nous pourrons organiser une rencontre avec luvan dans votre librairie. Contactez-moi pour recevoir le PDF de la maquette et pour passer vos précommandes.
Tout au long de ces deux mois de campagne, nous vous en dirons un peu plus sur le livre et le travail des différents intervenants.
C'est parti, à vous de jouer !
Xavier Vernet
luvan vous parle de TysT
Scylla : Tu disais sur les réseaux sociaux que tu avais promis à ton moi de 14 ans d'écrire de la Fantasy, et que c'était enfin fait. Pourquoi avoir attendu 30 ans ? Qu'est-ce qui a déclenché l'écriture de TysT ? Et ça veut dire que tu écrivais déjà à 14 ans ?
luvan : En fait, j’ai placé le curseur mythique à 14 ans, car c’est un chiffre rond, un palier. À 14 ans (ou du moins à l’idée grossière que je me fais de mon « moi de 14 ans »), je vivais entre le Pacifique, l’Afrique et la Bretagne. Je n'aimais pas toute la fantasy. Les scènes de batailles et les bavardages stratégiques du haut des remparts m'ennuyaient. Les archétypes sexuels et raciaux, le virilisme et le nationalisme sous-jacents de certaines histoires me retournaient les tripes, même si je n’avais pas de mots précis à mettre sur cette détresse. Mais je dévorais (et j'inventais) des histoires de mondes parallèles, de créatures complexes, extravagantes et incomprises, transcendant la tristesse du monde par la magie. Je lisais également beaucoup de poésie. J’en écrivais (j’écris depuis que je sais écrire). Je ne me suis pas officiellement « promis » d’écrire de la fantasy. Je savais que j’en écrirais. Ce que je n’ai cessé de faire depuis. Mais comme le dit Laurence dans sa postface, indirectement. Si j’ai fini par en écrire en 2020, c’est en raison de trois déclencheurs. La lecture de Thecel, de Léo Henry ; la lecture de The Absolute Book, de Elizabeth Knox ; une convalescence très compliquée. Léo Henry m’avait longuement parlé de sa démarche. Thecel, qui fait partie de sa trilogie de romans de genre publié par Folio SF (Le Casse du Continuum pour la science-fiction, La Panse pour le fantastique et Thecel pour la fantasy) était pour lui une façon de répondre à la question : qu’est-ce que la fantasy ?. Thécel est le premier livre que j’ai lu pendant ma convalescence. Léo me l’a fait parvenir avant sa sortie. C’était encore une véritable souffrance de lire, mais j’en avais besoin. Avant de tomber malade, j’avais lu l’incroyable The Absolute Book, de Elizabeth Knox, ancré dans l’amour d’une sœur et d’un lieu disparus à jamais. Comme l’acte de lire et de regarder des films était si douloureux, j’ai décidé d’écrire pour guérir. Je me suis ancrée à « mon » lieu et j’ai répondu à la question : qu’est-ce que la fantasy pour moi ? Honnêtement, je ne pensais pas être capable d’aller jusqu’au bout de ce roman. Pour moi, c’est encore un miracle inexplicable.
Scylla : Comment présenterais-tu ce livre ?
luvan : TysT est un hommage à la fantasy, à la renaissance folk. Une invitation à tramer ses propres récits, à transformer le monde, à contempler. Une ode au silence des fonds marins, à l’iode des navigations de nuit. J’y ai mis tous les ingrédients susceptibles de me soigner et propres à la fantasy. Des animaux, tous les types d’amour, de la magie, de la musique, des voyages, l’invention de soi (oui, il s’agit bien, comme souvent en fantasy, d’une histoire de «coming of age», mais n’ayant plus 14 ans, l’âge n’est pas celui auquel on s’attend). J’ai été très surprise lorsque Laurence Jonard et Léo Henry, qui furent les deux premières personnes à le lire – à ce stade, je pensais qu’il s’agirait des seules –, m’ont dit que TysT leur avait fait du bien. Ta lecture, puis celles de Claire Garand et de Melville m’ont confirmé ces premières impressions. La décoction, que je pensais n’avoir conçue que pour moi, fonctionne sur d’autres ! Mais il restait à me convaincre de le publier ! Ce livre convalescent est très inhabituel pour moi. Plus naïf, moins construit que mes œuvres « saines ». Plus direct et donc plus fragile. Je ne te l’ai confié que parce que j’ai confiance en toi !
Scylla : Pour le lancement de la campagne, seule la couverture de Stéphane Perger est visible. Il vient de nous envoyer les 12 dessins qui seront répartis tout au long du livre. Arnaud S. Maniak a lui aussi travaillé sur 2 cartes et des symboles pour la partie JdR. TysT pouvait-il exister sans illustrations ?
luvan : Hahaha ! Alors, oui, j’imagine qu’il le pourrait. Mais il lui manquerait plusieurs dimensions. Pour moi, la fantasy est visuelle, généreuse, démiurge, collective. C’est un endroit de récits annexes, de représentations, de jeux de rôle, de musique, de rêve éveillé. Un récit heureux, un endroit de plaisir, doit pouvoir se perpétuer, se partager. L’histoire se prolonge donc, sur le papier, dans la fantaisie bouillonnante de Stéphane Perger et la finesse topographique d’Arnaud S. Maniak, mais aussi dans la capacité d’émerveillement de Laurence Jonard, qui a rédigé la postface, et l’art subtil de Melville, autrice du Jeu de L’Éveillée. Ce jeu suscitera, je l’espère, une dimension supplémentaire, puisqu’il permettra à chacun*e de forger son propre récit, et de le partager à son tour.
Pour garder le contact avec luvan : son site.
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Melville vous parle de TysT
Scylla : Peux-tu nous dire comment tu as lu TysT pour la première fois et comment tu en es venue à créer un jeu pour l'ajouter au roman ?
Melville : Si je me souviens bien, luvan, que je connaissais déjà et avec qui j'avais déjà partagé quelques tablées virtuelles de jeu de rôle, m'a demandé fin 2020 si je voulais bien écrire un jeu pour accompagner le roman. Elle m'avait déjà parlé de TysT comme d'une gaimanerie finistérienne, et, Bretonne en exil et passionnée de l'œuvre de Neil Gaiman (j'ai moi-même publié une sorte de lettre d'amour à Neverwhere), la tentation était forte. J'ai demandé à lire préalablement le roman pour me faire une idée de ce que je pourrais proposer ludiquement, et j'ai bien rapidement dû me résoudre à me le lire à voix haute. L'écriture de luvan me fait souvent ça : elle m'hypnotise, et je me perds dans les images qu'elle convoque et les pensées qui en émergent si je n'ai pas le fil de ma propre voix pour trouver mon chemin.
J'ai lu le roman alors que je venais de m'installer à Bruxelles et que j'étais assez isolée. C'était l'hiver, il faisait sombre et je partageais un grand appartement avec deux chats. Il y a eu quelque chose de très intime avec le personnage principal, qui circule elle-même à travers une frontière, et existe en quelque sorte loin du monde. Je m'intéressais par ailleurs à la mouvance des jeux de rôle solo, et je crois que tout ça a tissé une sorte d'écheveau évident dans ma tête : s'il y avait un jeu de rôle à proposer pour accompagner TysT, ce devait être un jeu solitaire.
Scylla : C'est la première fois que tu crées un jeu à partir d'un roman ? Ça complique ta création ou ça la rend plus facile ?
Melville : Comme je disais, j'ai signé Legends of the Underground Table, qui est sous forte influence de Neverwhere, et puis de façon générale, je me nourris de nombreuses inspirations quand je crée. Le jeu de l'Éveillée, cependant, est ma première commande d'un jeu directement dérivé d'un roman. Instinctivement, je dirai que ça complique le travail, puisqu'il faut à la fois réussir à proposer un dispositif ludique qui colle avec l'œuvre originale, mais aussi que la proposition parle à la romancière. Avec luvan, j'ai eu beaucoup de chance parce qu'elle a tout de suite senti où je voulais aller quand j'ai proposé un jeu solo assez conceptuel. Traditionnellement, les adaptations de romans en jeu de rôle reposent sur une grande partie assez encyclopédique, afin de proposer aux joueuses d'incarner des personnages qui explorent un univers fictionnel bien établi. Avec l'écriture poétique toute en suggestions de luvan, ça ne me paraissait pas approprié, je voulais qu'on puisse retrouver le feeling du roman. Il fallait un jeu où l'on erre, où l'on trouve du sens dans des associations d'idées, où l'on traverse la frontière entre réel et fiction. Le jeu de l'Éveillée essaye donc de proposer ça : une réappropriation du roman, pour que chaque lectrice puisse devenir à son tour une Éveillée et découvrir sa propre quête, sa propre magie. Pour moi, TysT a quelque chose du journal de bord, ce que j'ai voulu donner à réimaginer avec le jeu.
Scylla : Dans TysT, comme dans ta réponse, le féminin l'emporte au pluriel, est-ce que cette règle a eu un impact sur la création de ton jeu ?
Melville : Non, pas du tout. C'est une pratique de plus en plus courante dans les franges indé du jeu de rôle que d'utiliser le féminin pour désigner les joueuses. Ça permet de transmettre des messages en matière d'inclusivité, d'abord, et puis c'est aussi assez pratique quand il s'agit de distinguer joueuses et personnages, par exemple. Quand les aspects pratiques et antisexistes se rencontrent, je crois que beaucoup de monde y gagne. En tout cas c'est comme ça que j'écris depuis déjà quelques années, on peut donc retrouver cette convention dans une partie non négligeable de mes publications. Par contre pour ce coup-ci, je me suis laissé dire que j'aurais dû prévenir la relectrice...
Scylla : Qu’avais-tu lu de luvan avant de participer à ce projet ? Qu’as-tu trouvé de particulier à TysT ?
Melville : Avant j'ai lu Susto et Agrapha. Pour moi l'écriture de luvan est d'un abord assez difficile, mais si on accepte de se laisser porter par la dimension poétique de son phrasé, on peut se laisser emporter par des textes qui laissent une grande part d'interprétation à la lectrice. C'est, comme je le disais précédemment, quelque chose qui me fait vite perdre le fil de récit lui-même, et la lecture à haute voix a été pour moi un outil précieux de concentration. Concernant TysT, je crois qu'il y a un truc thématique qui me parle très fort. Je suis née en bord de mer en Bretagne. Les paysages, même les paysages imaginaires du roman, me sont familiers. C'est mon terreau originel, l'endroit où encore aujourd'hui je trouve l'inspiration, sur le chemin des douaniers, à la lisière de la mer, de la forêt et du granit. Cette familiarité m'a permis de me projeter plus facilement que dans les ouvrages précédents, de me bricoler mes petits territoires mentaux, d'en observer les étendues depuis l'épaule de Sauda, comme une passagère clandestine.
Pour garder le contact avec Melville : son site.
Cartes postales TysT
et 18 ans de Scylla by Perger
Florian Sohard vous parle de TysT
Après luvan et Melville, c'est au tour de Florian Sohard de répondre à quelques questions sur son travail sur TysT :
Scylla : Tu es une des toutes dernières recrues dans l'équipe. Peux-tu nous parler de ton parcours professionnel avant qu'on aborde TysT ?
Florian Sohard : J’ai suivi un parcours assez linéaire au début. Après le bac, j’ai étudié les métiers du livre, puis j’ai fait un apprentissage en librairie et sans surprise, je me suis retrouvé à être libraire pendant quasiment neuf ans, spécialisé dans les littératures de l’imaginaire et la bande dessinée. Le métier de libraire a une place importante dans mon cœur, mais quand on travaille dans le milieu culturel et qu’on passe ses journées à conseiller, vendre le fruit de la créativité d’autres gens, il arrive qu’on ressente le manque de ne pas créer soi-même. Et puis j’ai découvert la sculpture et je me suis mis à en apprendre les techniques sur mon temps libre. Je faisais des choses pour moi-même ou des amis. Quand finalement je me suis retrouvé à envisager d’arrêter la librairie, tu es arrivé avec cette folle idée de me faire rejoindre l’équipe en me demandant de réaliser des sculptures pour la campagne de financement de TysT. Ça m’a mis le pied à l’étrier : ça a été mon premier projet en tant qu’artiste professionnel et je sculpte à temps plein depuis.
Scylla : Avant de t’attaquer au roman de luvan, tu as réalisé une sculpture de la main à six doigts de Kemal bin Taïmour, le personnage principal du recueil Le Prophète et le Vizir d'Yves et Ada Rémy pour lequel la demande était très précise. Pour TysT, comment as-tu travaillé ?
Florian Sohard : Le point de départ étant l’univers de luvan et de TysT en particulier, je me suis plongé dans le roman. J’essayais de chercher des moments qui me causeraient un choc graphique, qui imprimeraient en moi une image instantanée basée à la fois sur l’esthétique de la scène et l’émotion que celle-ci renvoyait. Je gardais un carnet à portée de main dans lequel je notais les images fortes qui me passaient par la tête à la lecture et je dois dire que ça n’a pas manqué. L’univers de TysT est tellement riche que j’ai noté une dizaine d’idées. Ce qu’il restait à faire, c’était trier en ne gardant que celles qui me semblaient réalisables sur le plan technique. De toute façon, sur la dizaine de concepts, il y en avait deux que je n’arrivais pas à m’enlever de la tête, alors j’ai suivi mon instinct.
Scylla : Tu as beaucoup échangé avec luvan durant cette réflexion ?
Florian Sohard : Oui, tout à fait. Quand je sculpte à partir de l’univers de quelqu’un d’autre, j’ai le sentiment d’avoir la responsabilité de m’occuper d'une chose qui touche à l’intime. Même si je veux évidemment rendre hommage à ma manière à l’ambiance de TysT et illustrer mon ressenti à la lecture, ça n’en reste pas moins mon ressenti personnel, justement. Si je représente cet objet ou ce personnage de telle manière, est-ce que c’était vraiment comme ça que sa créatrice les imaginait ? Est-ce que j’ai correctement interprété ce qu’elle a voulu dire ? Je ne veux pas faire n’importe quoi avec le monde intérieur de quelqu’un d’autre. J’envoyais régulièrement des photos de mes avancées à luvan et ça m’arrivait de lui demander si ça collait avec ce qu’elle avait voulu exprimer. Le but étant que mes sculptures soient le prolongement de sa vision, pas un détournement.
Scylla : Combien de temps as-tu passé sur ces sculptures ?
Florian Sohard : Pour le buste de Courroux Clapet Dhorst, j’ai travaillé quarante heures dessus, de la sculpture à la peinture. Quant au galet-image, il m’a fallu une dizaine d’heures pour réaliser l’original et une autre quinzaine supplémentaire pour le moulage de l’original, sa reproduction en résine en cinq exemplaires et leur peinture.
Courroux Clapet Dhorst
Scylla : Le galet que tu as réalisé pour TysT n'est donc pas un simple galet : sous un certain angle, un profil de femme apparaît. Ça a été compliqué d'arriver à trouver le motif qui ne se verrait pas immédiatement, mais apparaîtrait quand même au bout de quelques instants en fonction de l’angle de la lumière ?
Florian Sohard : Pas tant que ça, au final. J’ai fait quelques recherches de motifs en stylisant le visage au maximum et en faisant en sorte que le galet lui-même ait la forme de la masse de cheveux. De cette façon, il n’y a besoin que d’une seule ligne pour tracer le profil. Moins il y a de détails, plus c’est subtil et discret à insérer et plus ça semblerait naturellement creusé dans le galet. Un peu comme quand on cherche des visages ou des animaux dans les nuages, les arbres, le marc de café. C’était ça, l’idée que je cherchais pour faire écho au passage de TysT évoquant les « galets-image ». Il faut qu’on cherche pour trouver.
Scylla : Pas trop difficile de te séparer de pièces sur lesquelles tu as passé tant d'heures ?
Florian Sohard : Ah ah ah ! J’avais du mal, au début, à laisser partir mes sculptures, même quand il s’agissait de commandes. Mais depuis, j’ai trouvé les deux astuces pour compenser : d’abord je fais traîner la séance photo que je fais pour garder des traces. Et ensuite, je me lance directement dans le projet suivant pour compenser, transférer mon investissement émotionnel dans le nouveau et dire au revoir au précédent. Je n’arrête jamais, sinon il y a un vide !
Pour garder le contact avec Florian Sohard : son compte Instagram ou sa page Facebook. Vous pourrez admirer Courroux Clapet Dhorst sous tous les angles !
Vous le voyez le visage ? Vous le voyez ?
Les sculptures du buste de Courroux Clapet Dhorst et les galets-images sont désormais en vente.
Agathez vous parle de la Hex
Stéphane Perger vous parle de TysT
Arnaud S. Maniak vous parle de TysT
La blogosphère s'enthousiasme pour TysT !
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Mise en vente des originaux des illustrations intérieures à partir 15 avril !
À chaque original vendu, la moitié de la somme reviendra au dessinateur. Vous faites donc une triple bonne action : en plus d'embellir votre chambre ou votre salon, vous soutenez TysT de luvan et les artistes qui ont travaillé sur la partie graphique.
C'est aussi pourquoi ces originaux ne seront pas ajoutés sur le site comme les autres contreparties car chaque vente ferait augmenter a jauge de plus de 7 % alors que c'est seulement un peu plus de 3,5 % réellement destinés au financement de TysT. Si vous souhaitez en acquérir un ou plusieurs, vous pouvez me contacter afin de me donner vos réservations. Je vous indiquerai la marche à suivre.
Chaque original de Stéphane Perger (numéroté de 1 à 12 ci-dessus) est vendu 1 000 €.
Quant aux 2 cartes d'Arnaud S. Maniak : 800 € la carte avec son calque.
Premiers arrivés, premiers servis !
Sont déjà vendus : n° 2, 4, 5, 7, 11, 12 et les 2 cartes d'Arnaud S. Maniak. Un grand merci !
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